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il y a 1 an
Chapitre 64 : Tête-à-queue
Vincent passa devant moi. Je fermais les yeux. Peut-être cela serait-il plus supportable comme cela, si je n’en gardai pas l’image en mémoire ? Que devais-je faire maintenant ? Juste ouvrir la bouche ?
- Dans quelle situation t’es-tu donc mise, dit-il, usant comme mes maîtresses de ma féminisation pour m’en attribuer le genre.
Alors que je voulais répondre, elles me mirent un objet dans la bouche. Cela me fit rouvrir les yeux, juste devant son sexe bandant. Je voyais même à cette distance, le flux et le reflux sanguin qui le faisait tenir droit, horizontal. Je ne pus que le jalouser. Non seulement il était plus gros que le mien, mais il était libre et fonctionnel !
L’appareil dans ma bouche était une sorte d’écarteur qui prit naturellement sa place derrière mes dents avant d’être mis en tension, ouvrant ma bouche, écartant mes mâchoires.
Pendant que Ladyscar le manipulait, les autres maîtresses, devant mon corps attaché, ne purent éviter d’en user. Tata Marguerite me frappa de sa cravache sur les fesses. Lady Christine raclait de ses ongles mon dos entre les lacets du corset, repassant sur les traces du fouet, m’enlevant les plaques de cicatrisation qui n’avaient pas eu le temps de se consolider. Je sentis couler des gouttes de sang dans mon dos. Maîtresse Diane jouait de sa télécommande, faisant vibrer ma poitrine. Je frottais les pinces sur la table, cherchant à me les enlever, ne réussissant qu’à les étirer, les déplacer et les rendre plus douloureuses encore.
Mon masque me fut enlevé. Gênait-il ou voulait-elle voir mon visage plus clairement ? J’étais heureux qu’elles ne s’en étaient pas servi. La séance de la semaine dernière avec les yeux bandés avait un côté mystérieux que je n’aurai pas voulu garder ici, au milieu de tant de personnes et sans savoir ce qui m’attendait.
Un dernier tour et ma mâchoire était maintenant immobilisée. Ma bouche n’était plus qu’un réceptacle prêt à recevoir le pénis de mon ex-meilleur ami.
- Madame demanda Lisa. Vos valets voudraient jouir du spectacle. Comme seulement l’un d’entre eux pourra en profiter physiquement, il serait aimable que les autres puissent le faire visuellement.
Une douleur m’atteignit brutalement. La cravache avait quitté le terrain docile des fesses pour s’exiler au niveau de mes couilles étirées, tendues, rouges. Je m’étranglais presque. La phobie me revint.
-
De l’huile pimentée ou de la moutarde ? me demanda Lady Christine.
-
Hein, répondis-je, grognai-je plus exactement, incapable de prononcer un mot correctement.
-
Perdu. Ce sera les deux. Deuxième punition et deuxième valet.
-
Fais attention, me tança Ladyscar. Ou veux-tu te prendre toutes ces queues. Dans ce cas, dis-le-nous, et arrêtons de jouer.
-
C’est cela que tu veux, petite salope, continua Lady Christine. Tu n’es qu’une petite pute gourmande. Deux semaines d’abstinence et ce sont huit queues de plus que tu espères dans ton cul et dans ta bouche, voire les deux. Ils seraient plus nombreux tu apprécierais encore mieux. Répète !
Je n’eus pas le temps de répondre que le plug sortit brusquement de mon cul. Je criai.
- Moutarde et huile pimentée, la petite pute aime quand ça fait mal, quand cela lui brûle le trou du cul. Tu va voir ce que cela donne avec une bonne queue pour te ramoner tout ça, relança à son tour Maîtresse Diane. Vas-y ! Bourre-lui le trouduc ! ordonna-t-elle à un soumis.
Je ne savais pas si elle s’adressait à Nathan ou à Ben, Médor ayant toujours les pattes scotchées. Quand les deux premiers doigts entrèrent dans mon anus, au vu de la délicatesse avec laquelle il procédait, je pariais plus pour Nathan.
- Répète, insista Lady Christine, en augmentant l’intensité de l’électricité qui parcourait la cage.
Je ne savais plus ce qu’elle avait dit.
- Je suis une grosse pute, ânonnai-je incompréhensible. Je veux des queues dans mon cul et dans ma bouche, hurlai-je pour faire diminuer les décharges électriques.
Si celles-ci diminuèrent, les coups de cravache s’accélérèrent, la chaîne de mes tétons s’étiraient encore. C’est à ce moment-là que la queue entra dans ma bouche.
Il l’enfourna doucement, progressivement, lentement, rendant la chose presqu’agréable en opposition à tout ce qui m’arrivait et m’était arrivé. Cinq personnes s’acharnaient sur moi, trois femmes qui m’infligeaient tourments et souffrances et deux hommes m’humiliaient en me donnant presque du plaisir.
Les rythmes des doigts de Nathan coïncidaient avec la queue de Vincent. Je repoussai de la langue la bite de mon ami, alors que je voyais derrière lui les valets, nous ayant rejoints, me regarder avec délectation.
-
Notre petite salope a l’air de foutrement aimer cela, commenta Lady Christine.
-
N’oublie pas de la garder dur pour son cul, demanda Ladyscar à Vincent, dont le va-et-vient se fit plus intense.
-
Je rebanderai bien assez vite, répondit-il indiquant qu’il avait prévu éjaculer dans ma bouche.
-
Fous lui en une bonne foutrée, l’encouragea Maîtresse Diane.
Mon dieu, j’aimais cela. J’aimais être le centre d’attention de tous ces gens, attablé sur mon corps, ou m’observant. J’aimais entendre leurs propos salaces, croiser leur regard vicieux, sentir leur odeur. J’aimais le plaisir que me procuraient les doigts de Nathan, malgré la chaleur et la brûlure dégagées par les condiments introduits et, pire, j’adorais cette bite qui, dans ma bouche, me faisait jouir par procuration. Non pas moi ! Lassie aimait cela. Je lui avais laissé prendre ma place.
J’avais pu vérifier durant le ménage que plusieurs caméras filmaient dans cette pièce. Dans les brefs moments de silence, j’entendais les photos que prenaient les valets avec leur téléphone. Lassie voulait pouvoir revivre par ces images, ce qui se produisait en ce moment.
Vincent accéléra brutalement le mouvement, aidé par Maîtresse Diane qui me tenait les couettes. De nouveau Lady Christine jouait avec les télécommandes, mais aux niveaux minima. J’appris par la suite qu’elle tenait à ce que je prenne du plaisir quand le sperme de mon ami m’inonderait la bouche. Elle voulait que mon cerveau assimile les deux faits simultanément, pour que j’en redemande, que je devienne, selon ses termes, une bouffeuse de bite professionnelle.
Vincent n’y arrivait pas. Je sentais sa bite se mollir maintenant dans ma bouche. Je ne fis aucun effort pour que cela change. Je supposais que le nombre de personne présentes, le fait d’être entouré de femmes, ou celui de m’enfoncer de force cette partie de lui sans mon consentement, ne devait pas aider son excitation. Quel que soit l’explication, plus il s’évertuait, plus elle se ramollissait. Honteux, il finit par s’arrêter de lui-même. Devant une petite vingtaine de personnes, le voilà qu’il baissait la tête.
-
Faites tirer au sort les valets, demanda extrêmement déçue Maîtresse Diane.
-
Tu préfères les valets ou que ton ami se repose et réessaye plus tard, me demanda Ladyscar.
Dans l’état où j’étais, mieux en valait probablement en finir avec ces deux valets. Je n’étais pas certain que mon ex-ami se redresse dans tous les termes de cette situation. Alors que j’allai répondre, elle me précéda.
- Encore perdu. Tu auras le droit au deux, mais surtout un troisième valet ajouta-t-elle, alors que ces derniers applaudirent ma triste prestation au jeu de Tata Marguerite.
Mon dieu ! Ce jeu était débile ! Bien sûr que j’avais tendance à toujours réfléchir devant un choix et j’en étais fier. Voilà que cela me jouait des tours.
-
Tu reviendras plus tard, quand tu seras prêt, lança Diane à Vincent qui n’avait pas relevé ni la tête, ni la queue. Nous avons maintenant un brelan de valets à choisir, imagea-t-elle. Procédons au tirage. Comme à chaque fois, Maîtresse Diane avait des cartes représentant cette fois ses valets. C’est la main soi-disant innocente de Lisa qui tira les cartes. J’aurai le droit au roux, à l’outremarin et au géant mexicain. J’étais certain que, pour cette dernière carte, elle avait profité des deux premiers tirages pour la sélectionner spécifiquement.
-
Où voulez-vous jouer ? demanda notre hôtesse qui avait pris les rênes de l’organisation.
-
La bouche déclara le roux.
-
Le cul, hésita l’outremarin.
-
Le cul aussi pardi, répondit le mexicain en baissant son pantalon pour me dévoiler son gourdin, proportionnel à sa taille, plus gros que le strap-on de la veille ou que le plug de ce matin.
-
On va commencer par la bouche, décida Maîtresse Diane en indiquant au roux de se mettre en position.
-
Nous avons perdu déjà beaucoup de temps, s’agaça Tata en regardant Vincent toujours cloitré les yeux au sol et la queue pendante. Allons-y en même temps, indiquant au noir de passer derrière moi. Vous n’allez pas laisser cette petite pute d’adolescente se reposer. C’est vous les mecs !
… Mouais … se faire violer par son meilleur ami … 🤨 | |
La déchéance n'a aucune limite, surtout quand on ne cherche plus à avoir pied. De là à savoir s'il gardera le cap entre ses envies et ses remords, ou s'en écartera à droite, toilette-boy dans un bouge thaïlandais ou à gauche, rompant son contrat divin... | |
Prochain chapitre sur https://fessestivites.com/recit/198220 |
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